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étudiants en charge
Nadim
Abi Chahine, Johana Boktor, Cedric Lombardo, Benoit Moreau, Jad Rmeily,
Christina Saikaly, Houri Zeitounian. |
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situation
En
aval du village de Salima, c’est une fontaine dont l’eau (non potable)
se déverse dans un bassin avant d’être redistribuée
sur des terres agricoles. Située entre deux routes, la fontaine
est accessible par des escaliers publics. En été, les enfants
nagent dans le bassin, malgré l’insalubrité de l’eau. |
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la réhabilitation
Les
étudiants de l’atelier ont procédé à un nettoyage
du bassin, à un dégagement de canaux et à la reconstruction
des murs longeant l’escalier. Le petit bassin secondaire servant à
accumuler le trop plein a également été reconstruit. |
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l’installation
Autant
la place du village est un lieu marqué aux niveaux historique, social,
politique et confessionnel, autant la fontaine des Hayrat est un endroit
léger et libre. "Le projet élaboré racontera, à
travers une série de petites interventions, l’histoire de l’eau.
À titre d’exemple, des roues hydrauliques, de grandes tiges en bois
fixées sur rotule tout au long du canal d’irrigation qui suivront
le mouvement d’ondulation de l’eau, et pour éviter les glissements,
des anneaux de métal (matériau antidérapant qui brille
la nuit) ont été incrustés dans le sol. Au menu également,
un auvent à la structure tubulaire qui portera une vigne, des bancs
et un cabanon pour les enfants." (May Makarem, L'Orient Le Jour,
30'08'03) |
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